CHAPTER 4:

Pendant que je regardais mes pieds en attendant que le prof daigne bien se montrer pour notre prochain cours, l'air fut tout à coup envahi par une odeur forte de fleurs. Je relevais la tête et vis la blonde de tout à l'heure se diriger vers nous, ses cheveux se mouvant derrière elle à mesure qu'elle avançait. Elle se rapprocha puis trébucha pour s'écrouler sur Castiel à côté dé moi. Celui-ci la rattrapa d'un bras et la releva:
   - Ça va? demanda-t-il pour la forme, le ton employé témoignant d'un désintérêt certain pour elle.
Elle s'engouffra alors contre son torse.
   - Heureusement que tu m'as rattrapé! Je me serai cassée la cheville, tu imagines? Le jour de la rentrée?
Il soupira longuement:
   - Ouais ouais, ça aurait été affreux...
Je regardais la scène qui se déroulait à côté de moi et je ne pus m'empêcher de la trouver à la fois comique mais en même temps assez étrange. En fait, j'aurai pu jurer que la petite princesse avait fait exprès de tomber. Mais bon, pas de médisance, ça peut arriver à tout le monde un peu de maladresse. Ce qui ne me surpris pas, c'était l'évidente attirance de cette fille pour Castiel et le fait qu'il, comme je l'avais deviné, n'en avait strictement rien à faire.
   - Tu vas rester là encore longtemps? demanda-t-il. T'as pas cours?
   - Si, fit elle toujours blottie contre lui.
   - Alors qu'est-c'que tu fous encore là?!
   - Je préfère rester avec toi.
Cette fois, il l'attrapa par les épaules et la fit se déloger.
   - Ambre, va en cours.
   - Mais Castiel... minauda-t-elle.
   - T'es gonflante, si ton frère nous croise tout les deux, c'est encore moi qu'il enverra devant la dirlo pour tes conneries. Va en cours j'te dis!
Alors le visage d'Ambre changea. La petite princesse implorante céda sa place à une jeune ado hautaine et vexée. Elle fulminait.
   - Qu'est-c'que j'en ai à foutre de Nathaniel ou de ce qu'il pourrait faire? Tu vas me rejeter encore longtemps?? Je suis la fille la plus canon et la plus populaire de ce foutu bahut et tu vas me dire que t'en as rien à faire des avances que je te fais à longueur de temps?
Il leva les yeux au ciel.
   - Je fais pas dans le détournement de mineure, désolé, lâcha-t-il sans plus de tact.
   - Pardon?! cracha-t-elle. T'es à peine majeur! J'ai juste un an de moins que toi et t'es déjà sorti avec des filles de mon âge avant ta majorité!
   - J'ai pas envie d'avoir affaire à toi ou à ta famille, ok? J'suis sympa avec toi parce que t'es la sœur du DP mais ça s'arrête là, il serait temps que tu le comprennes.
Un sourire se dessina sur mon visage, la scène était vraiment coquasse tellement elle calquait ce que je venais de dire de Castiel une heure auparavant. Ambre remarqua mon sourire et me lança un regard noir:
   - Qu'est-c'qui te fait rire toi, espèce de punk?!
   - Ta bêtise.
Elle se dirigea vers moi et attrapa le col de mon perfecto. Malgré son jeune âge, avec ses escarpins, elle faisait facilement ma taille et planta ses pupilles turquoises dans mes yeux.
   - Joue pas avec moi la Nouvelle. Fais le moindre truc pour me contrarier et je te jure que je vais faire de ta vie un enfer dans ce lycée, menaça-t-elle.
Je saisi son poignet et la fit lâcher prise.
   - On parie? Répondis-je en la toisant.
Elle se libéra de ma poigne et m'insulta avant de décamper. Je remis en place le col de mon perfecto et mes mains dans mes poches quand j'entendis un rire à côté de moi.
   - Cette année risque d'être intéressante, pouffa-t-il.
Le reste de la classe arriva petit à petit et un attroupement de filles se forma autour de Castiel. Il resta cependant de marbre pendant qu'elles le flattaient, décochant quelques sourires de temps en temps, il les laissait se prendre en photo avec lui à l'aide de leurs téléphones et à la moindre petite attention de sa part envers ses courtisanes, ces dernières viraient au rouge pivoine ce qui avait le don de le faire alors encore plus rigoler. Ce petit jeu lui plaisait malgré ses démentis de tout à l'heure. Je secouai la tête. Décidément, ce mec s'annonçait irrécupérable.
La fin de la journée se passa sans encombre. Je me retrouvais constamment à côté de Castiel en cours vu qu'apparemment les filles étaient trop timides ou impressionnées pour oser l'approcher; quant aux mecs, peu d'entre eux avaient l'air de le porter dans leur cœur, le succès suscitant la jalousie je supposais. Cependant, malgré les incessantes questions qu'il me posait, je décidais que j'en avais suffisamment dit sur moi pour le mois à venir du coup, je restais silencieuse et ne décochais pas un mot avant la prochaine sonnerie annonçant la fin des cours. A 17h je rangeais donc mes affaires dans mon sac et sortis de la salle de classe, Castiel derrière moi. J'entendais des filles chuchoter son prénom sur son passage dans les couloirs.
Une fois dehors, je remis ma capuche et avançais dans le froid de la fin d’après-midi, au milieu de la foule qui s'empressait de quitter l'établissement. Au moment de franchir le portail, quelqu'un me poussa violemment dans le dos. Je n'eus pas le temps de me retourner pour voir qui avait intentionnellement essayé de me faire tomber que je fus entraînée par le flux de personnes vers la sortie. Une fois dehors, campée sur mes pieds, je cherchais autour de moi quelqu'un en train de rire ou autre mais ne vis personne de suspect.
   - Bande de cons.

Je marchais pendant 25 minutes pour rejoindre ma maison.
J'ouvris le petit portail en fer forgé et marchais dans les broussailles du terrain vague qui me servait de jardin. Je montais les quelques marches en bois menant à la porte d'entrée et y introduis ma clé. Un aboiement retentit dans le salon. Un boxer blanc comme la neige déboula et s'engouffra dans mes jambes en aboyant bruyamment.
   - Oui Trigger, c'est moi.
Mon chien sortit alors sur le perron et tendit le cou en humant l'air, cherchant à droite, à gauche en haletant.
    - Viens mon beau, rentre...
Il trottina dans la maison et je refermais la porte derrière lui. Je savais très bien qui il attendait si impatiemment chaque jour sur le pas de la porte. Il l'attendait, Elle. Il s'attendait à La voir rentrer avec moi, toujours persuadé qu'Elle n'était pas partie définitivement. La fidélité de cet animal n'allait pas m'aider à faire mon deuil, le sien n'ayant même pas commencé, mais c'était tant mieux pour lui. Il finirait peut-être par L'oublier et n'aurait pas à supporter toute la tristesse que moi je devais endurer. Trigger s'assit à côté de sa gamelle, la bouche ouverte, la langue pendante. J'allais lui chercher ses croquettes et en déposais une bonne quantité. Pendant qu'il engloutissait son repas, j'en profitais pour changer son eau et m'étaler ensuite sur le canapé, mon bras posé sur mon front. Je fixais le plafond orné de tâches d'humidité. Par endroit, le plâtre commençait à se décoller. La maison était certes grande, mais elle n'était pas en très bon état. Je me demandais alors si je trouverai la force pour entreprendre tous les travaux que Nous voulions faire maintenant que j'étais seule.
   - A quoi bon, murmurais-je.
Je penchais la tête sur le côté et vis la table basse démembrée sur le tapis, exempt de la plaque en verre qui la recouvrait. Je l'avais retrouvé brisée à mon retour cette fameuse nuit. Je devrai aussi remplacer ça si je souhaitais pouvoir reposer des choses dessus. Et puis il y avait cette tâche. Cette tâche noirâtre. Celle qui ne voulait pas partir, malgré tous mes efforts et qui, même si elle ne se propageait plus sur mon tapis, continuait à me nécroser de l'intérieur, pourrissant mon cœur et mes tripes, me rappelant chaque jour cette perte et cette solitude atroce à laquelle je me retrouvais confrontée malgré moi. Ma gorge commença à se serrer, je fermais les yeux puis j'entendis un gémissement. Je rouvris les yeux et regardais mes jambes sur lesquelles je sentis soudain un poids. Trigger venait de poser sa tête sur ma cuisse et me regardait avec ses yeux tristes, et ses babines tombantes.
Je lui frottais le crâne et lui grattais les oreilles:
   - Ça va mon beau, ne t'inquiètes pas.
Je me redressais et pris sa tête entre mes mains.
   - Ça te dit une ballade?
J'attrapais sa laisse qui était posée par terre et au tintement qu'elle émit Trigger bondit sur ses pattes et jappa de joie. Il tourna autour de moi pendant que je marchais vers la porte d'entrée. Je saisis mes clés, crochetais la laisse au collier de Trigger et sortis.

Trigger marchant à mes côtés, je me dirigeais vers l'océan. Il aimait se baigner et quant à moi, le son des vagues m'apaisait. De plus, j'avais la chance de vivre dans une ville côtière où la mer n'était qu'à quelques minutes de chez moi. Au fur et à mesure que mes pas me menaient vers ma destination, l'air fut saturé d'iode et une brise humide commença à souffler. Inconsciemment, je tournais la tête sur ma route pour regarder la falaise où je L'avais finalement laissé partir, où j'avais laissé mes souvenirs et ma peine s'envoler... Du moins, j'avais essayé.
Je traversais la route et me dirigeais vers la pente rocheuse et escarpée qui me menait à la petite crique où j'aimais tant aller. Je détachais la laisse de mon chien pour qu'il puisse descendre librement vers la plage avant moi. Il connaissait le chemin pour y être allé souvent. J'entrepris ma descente avec précaution et avant de faire mes derniers pas, je retirais mes chaussures et mes chaussettes et posais finalement mes pieds sur le sable fin. Trigger aboya bruyamment, je levais la tête et le vis accourir vers moi, un morceau de bois flotté entre les dents.

Il le posa à mes pieds et s'ébroua: 
   - Oh, Trigger, t'es trempé! Fis-je en me protégeant le visage des gouttes d'eau salée et du sable collé à ses poils.
Il aboya à nouveau, en me regardant puis en regardant son bout de bois.
   - Ok, j'ai compris.
Je me saisis du bâton et commençais à le secouer devant lui.
   - Tu veux jouer? C'est ça que tu veux?
Comme pour acquiescer, il jappa et se pencha en avant tout en gardant son postérieur levé, prêt à bondir. Je lançais le bâton aussi loin que possible, et quand celui-ci atterrit dans l'eau, Trigger se précipita à sa suite et commença à nager pour le récupérer. Ce ne fut pas difficile, il le récupéra bien vite et je dus répéter l'opération plusieurs fois.
Mon bras commençant à montrer des signes de fatigue, je m'assis lourdement sur le sable et expirais profondément. Trigger trottina dans ma direction, haletant et finit par s'allonger près de moi. Je lui frottais le dos en regardant l'océan et les vagues qui allaient et venaient paisiblement, léchant le rivage. Mes poumons gonflés d'oxygène, j'écoutais mon cœur battre au rythme du ressac. Il cognait dans ma poitrine. Je fermais les yeux et je me suis soudain sentie envahie par ce son régulier, la musique que murmurait la mer s'estompa petit à petit laissant la place aux battements de mon cœur. Ces derniers devinrent de plus en plus oppressants et intenses si bien que je n'entendais plus rien que leur son, cognant dans mon crâne. Je le sentais s'emballer, je voyais mes entrailles se tordre en pensant à ma situation. J'entourais mes jambes de mes bras et posais mon menton sur mes genoux, les paupières plissées à m'en donner mal à la tête. Mes dents serrées, je pestais:                                                          
   - Pourquoi ça m'arrive à moi. Pourquoi, pourquoi, pourquoi...
Je grelottais, le vent était froid et s'engouffrait sous mes vêtements. Je resserrais mon étreinte et malgré la proximité de Trigger, je me sentais désespérément gelée, tant à l'extérieur qu'à l'intérieur. Froide et seule. Isolée.
   - J'aurais aimé... J'aurais... tant aimé...
Des larmes montèrent alors et commencèrent à perler le long de mes joues, dégringolant sur mon visage déformé par la douleur, traçant des sillons invisibles et creusant des crevasses que personne ne verrait jamais.
   - J'aurai tant aimé que tu sois encore là... Tu me manques... me... manques tellement...
Les mots qui sortaient de ma bouche n'en étaient plus vraiment car en vérité, je n'arrivais tout simplement plus à articuler. Elle me manquait à un point impossible à imaginer. Son absence m'était insupportable, Elle avait laissé un trou béant dans ma poitrine que je n'arriverai jamais à combler. Jamais. Je pleurais. Je ne pouvais que pleurer. Je ne voulais pas rentrer, je ne voulais pas affronter cette réalité dégueulasse que je n'assumais qu'en apparence.
Un vent doux souffla contre mon dos et m'enveloppa. J'entendis un murmure à mon oreille et soudain mon corps se réchauffa, empli de sérénité, c'était comme si on m'entourait d'une étreinte chaleureuse. Comme si Elle était apparue derrière moi, s'était accroupie et qu'Elle m'étreignait de toute sa tendresse, comme Elle le faisait pour me réconforter quand je rentrais contrariée du boulot et que je me "réfugiais" sur notre toit, là où nous passions de longues heures et d'agréables nuit à parler, boire et oublier nos soucis. C'était nos moments à nous, privilégiés... Et jamais plus je ne serai à même de les revivre.
   "Cyrielle..."
J'ouvris grand les yeux à l'entente de mon prénom; sortie de ma bulle, les yeux irrités, je tournais brusquement la tête à gauche puis à droite et me figeais. La cadence des vagues avait repris, susurrant de doux murmures à mes oreilles mais la seule chose que je vis en face de moi en dehors des rochers gris anthracite et de la mer s'étendant à perte de vue, fut Trigger. Il s'était assis et me regardait attentivement, la tête penchée. Il gémissait, une longue plainte d'une tristesse déchirante émanait de lui et ses yeux étaient plantés dans les miens comme si... il avait compris. Mon imagination avait changé le gémissement d'un chien, le mouvement des vagues et le son du vent en un appel d'espoir fou auquel j'avais cru. J'ai cru qu'Elle était revenue. Qu'Elle m'était revenue.
   - Ha... haha... hahaha...
Je me mis à rire sans me contrôler puis éclatais à nouveau en sanglot, pathétique et brisée. Trigger se rapprocha et se colla à moi. Je l'enlaçais sans contenir ma force et le serrais en épongeant mes pleurs dans son pelage. Mes larmes salées se mêlant à l'humidité de la mer dont il était encore imprégné.
   - Ne me laisse pas...
Il n'opposa aucune résistance et cet animal que l'on dit trop souvent à tort "sans âme" fut le seul à me soutenir de ses épaules frêles, le seul qui sans dire un mot m'exprima et me donna tout l'amour qui me manquait en cet instant.

31 commentaires:

  1. coucou!!!
    Pas besoin de s'inquiéter je lis toujours ta fan-fic parce je l'adore toujours!!
    bon hum...j'ai adoré ce chapitre et aussi tes dessins qui sont magnifique!!
    bon courage
    bisoux sucrée♥

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    1. hihihi merci pour ton enthousiasme et ta fidélité =D <3

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  2. C'est juste woaow ! :)

    y'a pas d'autres mots...

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  3. Je crois bien que c'est la première fois que je commente ta fic directement sur ton blog, peut-être parce que ta fic m'a fait pleurer et que c'est assez rare.
    Et oui même au lit avec 40°C de fièvre et la grippe je lit ta fic ^^
    Bisous!

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    1. Oh bah alors Yuiko! faut pas pleurer enfin :O
      Remets toi vite et merci de continuer à lire malgré ta fatigue <3

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    2. Mais c'était magnifiquement bien écrit ^^
      Merci

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    3. Pour ma part, je pouvais presque sentir l'odeur de chien mouillé ! :)

      angelsyouyou

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  4. Decay d'amur ♥ Franchement, ce chapitre m'a ému, vraiment. J'ai même versé la larme. J'ai un chien, avec qui j'ai de très gros liens, donc, je me suis reconnue dans ce chapitre, et c'était très touchant ! Je me reconnais vraiment dans ton personnage, c'est wah. Continue encore à nous faire rêver ♥

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    1. Hé bien je n'en attendais pas tant! je suis touchée de vous entendre réagir de la sorte! merci <3

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  5. Bon d'accord, je n'ai jamais commenté tout ça, mais je suis vraiment ta fan fic et ce chapitre m'as émue profondément, j'ai eu les larmes aux yeux..
    Tu as une écriture magique, on est desuite absorbé dans ton historie et on ressent tout les sentiments que tu veux faire passer..

    En un mot : troublant.

    Continue de nous faire rêver ! :) ♥

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    1. Ouaaaah deux personnes à me dire de "continuer à les faire rêver", c'est just wahou :'3 Je vais faire de mon mieux! merci pour ton commentaire natsuko!

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  6. Toujours en retard sur la lecture de ta fic' mais bon xD Tu sais quoi ? Dejà que le chapitre était tout tristounet, bien qu'un peu court a mon gouts :3
    Bah avec le système de musique j'ai pleuré xD Surtout que j'ai fini le chapitre ou Figger " reconforte " Cyrielle, avec la dernière musique ( flem d'aller voir le nom). Bouh je suis trop sensible x)♥ Magnifique chapître comme tout les autres ! ( La petite scène entre Ambre et Castiel était commique :') )

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    1. Je repprend : [...] Bien que trop court a mon gouts [...] J'me suis pas relue et j'me suis tromper dans le sens de ma phrase xD //Baka//

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    2. C'est Trigger le nom du chien ( ça signifie gachette) et ben je suis contente que le système fonctionne =D et la chanson c'est I'm Listenning tiré de la BO du film I am Legend ^^ bisouuuus
      ps: c'est pas grave si t'es en retard du moment que tu trouves le temps de lire au bout du compte ;)

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    3. Ah oups Trigger* même pas fait attention que j'avais mit un " F " a la place.

      Sur ce j'espère que le chapître 5 serra tout aussi geniale :)

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  7. C'est juste un truc qui déchires trop ta fan-fic !
    La chanson a été super bien choisir, et jten félicite!
    J'attends avec impatience la suite.
    Gros bisous.
    D'une de tes plus grandes fans :P

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    1. Merci Céline, contente de te compter parmis mes fans :3

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  8. Aoiueaoudef.♥

    Pas d'autres mots pour décrire ce chapitre riche en émotion, et tout simplement parfait. La musique, cela faisait un bail que je ne l'avais plus entendue, et elle allait plus que bien avec le texte. L'on ressentait parfaitement les expressions de Cyrielle, sa tristesse, sa solitude. Mais, Elle l'a sentie, cette femme dont on ne connait pas le nom. Description magnifique, j'ai tout simplement adoré ce chapitre, j'espère que la suite arrive bientôt !

    Andu, ♥

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    1. <3 Le chapitre 5 arrive cette semaine, dimanche au plus tard =D je suis ravie de t'entendre aussi comblée =D

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  9. Trop bien ta fic

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  10. coucou j'arrête pas de lire ta fic .. c'est merveilleux!!! Tu as une façon de t'exprimer dans cette histoire!! J'adore ton écriture cette façon de tout façon si bien !! De écrire les entiments de tes personnages et j'en reste bouche -bée continus ainssi moi en attendant je te promet de suivre ton histoire jusqu'au bout!!!

    Continue a nours faire rêver

    Océane

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    1. euh de décire pardon...





      Océane

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    2. Hé bien merci beaucoup Océane! =D ça me fait très plaisir ce que tu me dis =)

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    3. de rien vraiment sa viens du fond du coeur!!!

      Océane

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  11. Bon...désolée ma mère gueule à moitié quand elle téléphone et j'ai beau lui dire elle fait rien -_- elle m'énerve!!! du coup je sais plus ce que je voulais dire et j'arrive plus à réfléchir -_- p*tain mais qu'est-ce qu'on en a à foutre de la vie des autres, famille de commère -_-
    bref...(même de ma chambre je l'entend et pourtant ya ma soeur qui a mis sa musique, plus la machine à laver qui tourne c'est grave quand même -_-
    DONC!! (je vais y arriver) oui, alors... ba encore une fois on aimerai bien savoir qui est cette fameuse personne décédé et en savoir un peu plus sur ce qui s'est passé mais encore une fois tu révèle tout ça avec tact. Le paysage de la mer fait encore plus montée la tristesse du personnage et... putainje voulais dire autre chose... ça m'énerve!!! bon je vais lire la suite, je vais essayer de me calmer et puis c'est tout

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  12. J'adore ! Encore et toujours !! ^^ c'est magnifique !! C'est aussi très triste, mais tu le raconte si bien, qu'on en veut encore !! :)

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  13. Sa me fend le coeur ='( la pauvre sa doit être difficile

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    1. Hé oui, Cyrielle n'est pas aussi froide et dure qu'elle voudrait le faire croire, elle a ses faiblesses que l'on découvrira au fil du temps ^^

      En tout cas merci pour tes nombreux commentaires Lilou ;)

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  14. Toujours aussi bien ! Ta fiction est vraiment émouvante !

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